Inox, je vis et travaille en Suisse, je suis le seul con dans toute l'Europe à bosser le 1er mai, donc j'essaie d'être le plus désagréable possible afin d'évacuer ma frustration.
Bande de gauchistes! Feignasses! Au boulot, les grévistes! Aux chiottes, les jours chômés! Maréchal, nous voilà... (Oups, je crois que je me suis emporté.)
V enez mes ptis amis, on chante tous en coeur "Et on fait tourner les Ventouse, chez nous on est pas des touzes" (ouais ouais il est vieux jeu Patoche)
Étymologie : La réforme de l’orthographe imposée par la ministre française de l’Éducation nationale, prévoit de simplifier la (notre) langue française afin que les plus mauvais en orthographe n’aient plus de complexes… En obligeant les plus doués à rejoindre le niveau des plus nuls ! Ainsi, le "ph" de "pharmacie" sera remplacé par un "f" pour donner "farmacie" ; "orthographe" s’écrira "ortografe" et "analphabète" deviendra "analfabète". Or, chaque mot prend son sens dans ses racines : ainsi, le mot "analphabète" est issu des deux premières lettres de l'alphabet Grec, " alpha " et " beta " précédées du préfixe privatif " an " qui lui donnent son sens originel, à savoir : "qui ne connaît pas les lettres", donc qui ne sait ni lire, ni écrire. Si désormais on écrit "analfabète", c'est totalement différent, et il faut revoir l'étymologie du mot ; et par conséquent, son sens. Donc, "analfabète" est issu de : - "anal" : qui a rapport à l'anus, - "fa" : la quatrième note de la gamme, - "bète" : personne un peu sotte. Un "analfabète" est donc un con qui fait de la musique avec son trou de balle ! A ne pas confondre avec "les trous du cul" qui pondent "des réformes à la con" au ministère de l’Éducation nationale ! Je pense avoir bien résumé le problème !